Chercher
Français
  • English
  • 正體中文
  • 简体中文
  • Deutsch
  • Español
  • Français
  • Magyar
  • 日本語
  • 한국어
  • Монгол хэл
  • Âu Lạc
  • български
  • Bahasa Melayu
  • فارسی
  • Português
  • Română
  • Bahasa Indonesia
  • ไทย
  • العربية
  • Čeština
  • ਪੰਜਾਬੀ
  • Русский
  • తెలుగు లిపి
  • हिन्दी
  • Polski
  • Italiano
  • Wikang Tagalog
  • Українська Мова
  • Autres
  • English
  • 正體中文
  • 简体中文
  • Deutsch
  • Español
  • Français
  • Magyar
  • 日本語
  • 한국어
  • Монгол хэл
  • Âu Lạc
  • български
  • Bahasa Melayu
  • فارسی
  • Português
  • Română
  • Bahasa Indonesia
  • ไทย
  • العربية
  • Čeština
  • ਪੰਜਾਬੀ
  • Русский
  • తెలుగు లిపి
  • हिन्दी
  • Polski
  • Italiano
  • Wikang Tagalog
  • Українська Мова
  • Autres
Titre
Transcription
À suivre
 

Savoir qui est le vrai Maître, le vrai moine ou prêtre, partie 1/10

Détails
Télécharger Docx
Lire la suite
Bonjour, beaux enfants de Dieu, descendants des Bouddhas et du Christ. Je voulais vraiment vous parler il y a quelques jours, mais j’ai été trop occupée, trop prise. Alors aujourd’hui, j’ai réduit mon travail de moitié et je me rattraperai demain. Il n’y a rien de trop urgent aujourd’hui, je peux donc vous parler, pour que vous sachiez que je suis toujours là, en vie.

On ne sait jamais pour combien de temps. Chérissez votre vie et votre temps sur Terre afin d’avoir suffisamment d’occasions de pratiquer pour vous élever spirituellement, vous et ceux qui vous entourent. Et bien d’autres aspects, tels que les vertus, la morale, la sagesse – c’est ce que vous pouvez apporter à ceux que vous aimez et à ceux qui ont la chance de vous côtoyer, les pratiquants spirituels de haut niveau. Et si vous êtes encore à un bas niveau, ne vous inquiétez pas ; vous y arriverez, si vous êtes sincère ; quand on veut, il y a toujours un moyen. C’est juste que parfois, notre corps n’écoute pas notre volonté. Essayez de lui apprendre quoi faire.

Maintenant, c’est l’été, ou lorsqu’il fait trop chaud, vous pouvez mettre un petit bol d’eau froide avec des glaçons dedans, si vous avez des glaçons, et mettez-y une serviette chaque fois que vous avez trop chaud, même si vous n’êtes pas couvert par des vêtements si vous vivez seul, comme c’est mon cas. Vous pouvez faire tout ce que vous voulez, en fait.

Et s’il fait trop chaud, vous pouvez laisser la fenêtre ouverte. Et si vous vous inquiétez des fantômes et d’autres choses, si vous êtes un bon pratiquant, vous ne devriez pas vous inquiéter. Mais vous pouvez allumer la lumière dans le jardin pour que tout autour de votre maison soit éclairé. La plupart des fantômes craignent la lumière, s’ils sont à l’extérieur de votre maison. Peu importe. Il y a aussi des fantômes à côté de vous, près de vous ou de votre maison. Ce sont des choses invisibles. Parfois, l’espace n’a pas d’importance pour eux. Mais nous pouvons nous réfugier dans la Méthode Céleste de la Lumière Céleste intérieure sans lumière, et du Son Céleste intérieur sans son. Vous le savez, et vous serez en sécurité. Laissez Supreme Master TV allumée en arrière-plan pour vous sentir plus en sécurité.

En fait, je crois que vous vous sentez tous en sécurité et en bonne santé, comme je l’étais quand j’étais plus jeune. Avec la Méthode du Son et de la Lumière Célestes intérieurs, vous ne devriez jamais vous inquiéter de quoi que ce soit. Quand j’étais un peu plus jeune, je voyais parfois des silhouettes blanches autour moi, presque transparentes, mais je n’ai jamais eu peur. Et après être devenue plus éclairée que d’habitude, je marchais partout seule, même dans l’obscurité. Comme dans l’Himalaya, je n’ai jamais eu de lampe de poche ou quoi que ce soit de la sorte, je ne pouvais pas me le permettre à l’époque ! Et dans les montagnes et les forêts de l’Himalaya, le soir, il fait nuit très rapidement. Eh bien, quand j’étais là-bas, il faisait très vite nuit. Parfois, j’allais à la bibliothèque pour emprunter des livres ou lire quelque chose, et même lorsqu’elle fermait et que je devais rentrer chez moi, c’était un long chemin à parcourir. Il n’y a pas de bus ni de taxis comme vous en avez dans les villes. Là-bas, on marche, et même si l’on veut une calèche ou un cheval-personne, il faut aller dans un village, au centre-ville d’un plus grand village pour le commander ou le louer.

Je vivais dans la forêt, dans une maison en terre. La plupart du temps, c’était comme ça. Et le soir, quand je rentrais chez moi, j’y allais tout simplement. Il faisait tout noir. Il fait plus sombre que dans les villes. D’une certaine manière, même si vous ne vivez pas dans la ville, mais près de la ville, la lumière de la ville peut vous aider à voir un peu le chemin. Mais dans l’Himalaya, dans la forêt, tout est sombre, sombre. Jusqu’à présent, quand j’y repense, je me demande comment je rentrais. Mais c’est ainsi que je vivais avant. Je n’ai jamais eu peur de rien. Je n’ai jamais su ce que signifiait avoir peur.

Quand j’étais enfant, si, pendant un petit moment, parce que les gens racontent toujours des histoires de fantômes, de tigres, de sorcières, pour effrayer les enfants. Alors quand je rentrais à la maison, j’avais un peu peur, mais c’était juste temporaire, c’est passé très vite, avec l’âge. Quand on est jeune, le temps passe si vite.

Mais dans l’Himalaya, il n’y a rien de tel. Dans la jungle, surtout, rien de tel. Mais je me demande comment je rentrais chez moi. Je marchais jusqu’à la maison. J’avais l’impression que mes pieds savaient où aller. Je viens d’y repenser. J’ai pensé que je devais être comme une idiote ou une folle. Je suis partie à la recherche de Dieu. Je pensais Le trouver en Inde, dans l’Himalaya. Je ne me suis jamais préparée. Je n’avais même pas de tente. Je n’avais qu’un parapluie et je n’avais pas beaucoup d’argent ; je devais le faire durer. Si je n’avais pas de chambre quelque part dans l’Himalaya, je devais simplement dormir sous le parapluie. Au moins, la tête n’était pas mouillée, et c’est l’important. À l’époque, je ne savais pas ce que signifiait le mot « peur ». Aujourd’hui, en vivant dans la soi-disant civilisation, on peut avoir peur des gens, de tout ce qui pourrait nous arriver dans la société civilisée. Dans l’Himalaya, on vit dans une maison en terre, seul ou avec quelques personnes. Et si vous sortez quelque part, si vous voulez rentrer chez vous, vous devez traverser des forêts, des montagnes et des rivières. Et tout cela, je l’ai fait seule ! Maintenant, en y pensant, ooh... Je ne suis pas sûre de pouvoir le refaire.

J’étais plus jeune. Et j’aimais tellement ce monde – ce monde libre, ce monde sans peur, que j’ai perdu. J’ai perdu tant de choses, y compris cela. Mais ce genre de monde est l’un des plus précieux pour moi. Je ne savais pas que le fait de connaître autant de gens pouvait vous donner bien plus de bagages que lorsque vous êtes seule, même si vous ne portez aucun de leurs bagages. Personne ne peut voir cela. Mais c’est plus lourd que lorsque vous vivez seule, presque sans le sou. Vous devez compter vos sous tous les jours. Vous ne pouvez pas dépenser plus que ce que vous avez déjà prévu de dépenser.

À l’époque, je n’avais pas beaucoup d’argent et je n’ai jamais voulu demander à mon ex-mari de l’argent pour le voyage dans l’Himalaya. Alors si j’avais de l’argent, je le dépensais ; si je n’en avais pas, c’était fini, je devais partir. Mais comme je vivais de façon très frugale – quelques chapatis (végans) que je faisais moi-même devant la maison en terre avec du bois sec dans la forêt – on peut tenir longtemps avec très peu d’argent. En Inde, c’est beaucoup moins cher que dans d’autres pays. Et si vous vous trouvez dans une région montagneuse comme l’Himalaya, c’est encore plus raisonnable. Mais si vous vous enfoncez dans l’Himalaya, ça peut être plus difficile, car là-haut, il n’y a pas de restaurant, pas de nourriture, rien n’est disponible.

Même de temps en temps, vous avez la chance de trouver quelqu’un dans la rue, juste au milieu de la rue de la forêt – si la forêt a une rue – peut-être qu’il y a un jeune homme avec un récipient en métal contenant de la farine de blé, et alors vous pouvez avoir peut-être un seul chapati – si vous avez de la chance, si vous êtes venu tôt. Si vous arrivez plus tard, tous les pèlerins se jetteront presque sur son poêle et lui demanderont de la nourriture. En un rien de temps, son petit récipient en métal aura disparu. Tout le monde doit partir, lui aussi.

Sur ces chemins de forêt, parfois on ne voit personne. Rarement, de temps en temps, on peut avoir la chance de tomber sur un moine, un moine âgé, qui n’a qu’une bâche en plastique au-dessus de sa tête, fabriquée avec des branches d’arbres à proximité par certains de ses fidèles ou peut-être lui-même. Et sous ce morceau de plastique, il y a un petit poêle, et les charbons doivent être chauds et brûler tout le temps, même s’ils sont recouverts de cendres, parce qu’il n’aurait plus jamais l’occasion de faire du feu si ce feu s’éteignait, si les charbons s’éteignaient. Parce que personne n’irait lui en donner ; il n’y a personne autour de lui à des kilomètres à la ronde.

Ce genre de chemin n’est visible qu’en été, le vrai été, après que la neige est partie dans le Gange, quelque part dans les environs. On peut alors marcher dessus. Ce n’est que pour les pèlerinages. Personne n’emprunte jamais ces chemins. Certains sont très éloignés et très dangereux. Et le moine, je pense qu’il n’est resté là que temporairement, parce que les pèlerins vont et viennent et peuvent peut-être l’aider à survivre parfois, jusqu’à ce qu’il aille plus loin, plus haut, à Gaumukh ou quelque part plus haut dans l’Himalaya, où personne, aucune âme ne se rend jamais. Je chéris tellement ces moments, comme les meilleurs de ma vie.

Photo Caption: Chercher à atteindre la vraie beauté.

Télécharger la photo   

Partager
Partager avec
Intégré
Démarrer à
Télécharger
Mobile
Mobile
iPhone
Android
Regarder dans le navigateur mobile
GO
GO
Prompt
OK
Appli
Scannez le code QR
ou choisissez le bon système à télécharger.
iPhone
Android